(n'empêche qu'il a une super caisse claire le type)
"Espèce d'hindou rien à foutre tu viens d'où
Quinze coups dans la gueule, j'ai la main lourde
Je déterre ta grand mère et la viole comme une chienne
Et si t'es pas content, je viole ton père
Prêt pour la douche ? Je te pisse dessus
Et je te brise le cul, petit fils de pute
Je te fist nu, ne te crispe plus
Vulgaire comme la chatte à ta meuf
Ramène tout ton clan et ta mère à la cave
Prêt pour la tournante ? Je vais te faire un nouveau frère
Ne pleure pas pédale de merde
C'est mortel, c'est le bordel
Ecrase le blunt et protège tes seufs
C'est la guerre espèce de petit batard
N'aies pas peur et crève petit hataï
Refrain:
Que des bâtards de barbares
Que des bâtards de barbares
Que des bâtards de barbares
Tu cries comme une pute, ta peau se décolle
Que des bâtards de barbares
Gentiment je t'immole
Je suis une bombe humaine dans une maternelle
Un cutter dans le coeur de ton paternel
J'ai mis ta mère en vente sur internet
Et je fais tapiner ta soeur on vient m'interner
Cock dans le zen, pompe sur la tempe
Obtempère, pédale de merde
J'appelle à la haine, au meurtre, au viol et à la tuerie, au massacre, à la furie, au napalm
Refrain:
Que des bâtards de barbares
Que des bâtards de barbares
Que des bâtards de barbares
Tu cries comme une pute, ta peau se décolle
Que des bâtards de barbares
Gentiment je t'immole
Avant de commencer la lecture de cet essai il est bon de savoir que l’auteur n’est qu’une sale tortue mythomane qui aime écrire des tas de sottises sur l’intraweb pour faire marrer la galerie, son cas étant aggravé par l’heure matinale à laquelle cet essai a été rédigé (1h du matin, l’heure du lever).
Le lecteur sera donc averti que toutes les élucubrations qu’il rencontrera dans ledit essai ne sont aucunement vérifiées et sortent seulement de l’esprit malade et tortueux de l’auteur.
A bon entendeur.
Dr Franklin
Nous traiterons, dans cet essai, du rire.
Le rire, dit-on, est le propre de l’Homme mais personne n’a jamais essayé de le mesurer ou de le quantifier à tel point qu’on ne peut pas comparer le potentiel de deux plaisanteries* données à faire rire son auditeur.
Ce manque impardonnable permet de comparer une vulgaire blague* de toto* à l’une de plus fines contrepèterie*.
Nous proposons donc ici de mettre en place un système permettant de quantifier l’humour que nous baptiserons « potentiel rigolatif ».
Nous mesurerons le potentiel rigolatif en instaurant des degrés de rigolativité les plus pertinents possibles afin qu’il n’y ait pas de confusion possible.
Degré 1 : Rigolol.
Le lecteur émet un petit rire* approbateur voir poli.
Degré 2 : Lol.
Rire plus fort, littéralement « à gorge déployée »
Degré 3 : Rofl.
Le lecteur se roule par terre de rire. La plaisanterie a déjà ici un potentiel rigolatif élevé.
Degré 4 : Lmao.
Le lecteur de la blague se retrouve le cul par-dessus tête tellement la blague est désopilante*.
Degré 5 : Roflmaogfc.
Le lecteur se roule par terre de rire le cul par-dessus tête en mettant le feu au tapis. On atteint ici le degré de rigolativité absolu, quoique certains spécialistes prétendent le « roflcopter* » plus puissant nous garderons celui-ci.
Les degrés étant définis il nous faut maintenant un instrument de mesure capable d’assigner à une blague donnée son potentiel rigolatif.
Cet instrument est le Rigolatimètre :
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Très simple d’utilisation, il suffit d’énoncer la blague en question à voix haute puis de lire le potentiel rigolatif correspondant.
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Le potentiel rigolatif est calculé comme suit :
Avec : - Pr : Potentiel rigolatif - F : Facteur de rigolativité (défini après) - olol : constante de rigolativité (18,42 Kilolol.dB-2) - rire : puissance du rire du public en décibels - Npublic : nombre de personnes dans l’assistance
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Après avoir défini le potentiel rigolatif d’une blague, nous allons voir comment augmenter le potentiel rigolatif d’une blague en utilisant certains facteurs appelés « facteurs de rigolativité ».
Ainsi en ajoutant un facteur de rigolativité à une blague à potentiel rigolatif faible on augmente son potentiel rigolatif dans le but d’atteindre le degré supérieur de rigolativité.
Nous verrons ici les facteurs les plus puissants :
Le facteur pourpre (F = 2)
Le mot pourpre à lui seul ayant un degré de rigolativité « Rofl. », l’incruster dans une blague permet d’élever instantanément le potentiel rigolatif de ladite blague.
Ainsi s’il était question d’un porte-avion, vous n’avez qu’à le transformer en porte-avion pourpre ; si on parlait de trente petits bonshommes rouges, ils deviennent trente petits bonshommes pourpres ; le prénom Jonathan devient Pourprathan, etc.
Le facteur pourpre est actuellement le plus puissant des facteurs rigolatifs.
L’éponge à poireau (F = 1,5)
« Phrase innocente n'ayant au premier abord aucun potentiel rigolatif, mais qui prend toute son ampleur lorsqu'elle est bien placée (aussi appelée Ecureuil qui a faim). »
- Dr. Ri², 18/08/09 01h 14mn 08sec
Ce facteur ici défini par mon confrère le Dr Ri² est à ajouter en fin de blague si vous voyez que vous faites un bide.
Ex : Narrateur : « … et donc il explose ! »
Public : « … »
Narrateur : « Euuuh … Eponge à poireau ! »
Public : « ROOOOOOFL ! »
Après une heure de dur labeur, j’espère que mes travaux permettront désormais de pouvoir comparer le potentiel rigolatif de deux plaisanteries données sans aucune ambigüité.
N’hésitez pas à user et abuser de tous les mots définis ici et à contacter l’auteur en cas de questions éventuelles.
Je tiens à remercier mes parents sans qui je ne serais pas né et par la même occasion sans qui cette théorie n'aurait jamais existé, ainsi que Ri² pour son potentiel rigolatif fortement supérieur à la moyenne. Je remercie mon génie pour avoir imaginé cette théorie ainsi que toutes les tortues du monde qui m'ont soutenu.
Pour toutes suggestions, remarques, encouragements, ou chèques, s’adresser à l’union des tortues scientifiques.
EPONGE A POIREAU !
Le Dr. Franklin
Plaisanterie : nf. (syn. Blague) Discours badin, où l'on se joue, avec ironie ou humour, des sujets abordés et que l'on tient généralement avec l'intention d'amuser, de distraire.
Blague : cf. Plaisanterie.
Toto : Personnage simplet souvent utilisé dans les blagues enfantines.
Contrepèterie : nf. Permutation de sons, lettres ou syllabes dans un énoncé de manière à obtenir un autre énoncé de sens cocasse et souvent obscène. Ex : « Il est difficile d’arriver à pied par la Chine »
Rire : nm. Expression permettant de partager le degré de rigolativité d’une plaisanterie.
Désopilant : adj. Du latin desopilum, littéralement « qui a un potentiel rigolatif très élevé »
Roflcopter :
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